>> Quelle expérience valider ?
L'ensemble des compétences acquises dans l'exercice d'une activité professionnelle (salariée ou non, agricole ou non) ou bénévole (gestion associative, activité syndicale, secourisme...).

>> Quels "diplômes" à la clé ?
Tous les diplômes (exemple : CAP, Baccalauréat Professionnel, BTS production végétale..., Licence Professionnelle, etc), titres à finalité professionnelle, Certificats de Qualification Professionnelle et toutes les certifications référencées au Répertoire National des Certifications Professionnelles (R.N.C.P).

 >> Qui finance la VAE ?

• Plan de formation et/ou DIF prioritaire, ou période de professionalisation : la VAE est à la charge de l'entreprise, avec le soutien financier de l'OPCA (Organisme Paritaire Collecteur Agréé) AGEFOS PME.
• Le congé pour VAE peut être financé par le FONGECIF régional dont dépend votre entreprise, lorsque la demande est à l'initiative du salarié.

>> Téléchargez notre plaquette d'information sur la VAE

1- Information et choix du diplôme

Un réseau d'information et de conseil spécialisé sur la VAE a été mis en place dans toutes les régions.

Cliquez ici pour contacter votre interlocuteur régional.

Vous pouvez également contacter Asfona au 05 49 75 10 01 qui assure la coordination du dispositif VAE Négoce Agricole.

2- Candidature

Le dossier de candidature est à retirer puis à déposer auprès de l'organisme "certificateur" qui délivre le diplôme choisi.

Cet organisme vérifie la recevabilité de la candidature du salarié et peut lui proposer un accompagnement pour monter son dossier de VAE...

3- Dossier de VAE

Le salarié peut bénéficier d'un accompagnement assuré par l'organisme certificateur ou par un autre accompagnateur.

Une aide indispensable pour préparer efficacement le candidat à son évaluation.

4- Jury de VAE

Chaque organisme certificateur fixe ses propres modalités d'évaluation : examen du dossier, entretien, mise en situation... le tout passe par un jury.

Composé de professionnels exerçant dans le domaine du diplôme, le jury vérifie si les acquis de la personne répondent aux compétences exigées pour le diplôme et se prononce pour la validation totale ou partielle.

Dans le second cas, le salarié peut acquérir les compétences manquantes, via la formation ou l'expérience, dans un délais maximum de 5 ans.